Installer un carport photovoltaïque solaire

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Carport solaire : protégez votre voiture et générez de l’énergie

Protégez votre voiture avec une structure génératrice d’électricité verte : c’est la promesse d’un abri d’auto solaire. Au fur et à mesure que l’industrie des véhicules électriques se développe, ces abris se développent également. Nous vous invitons à en apprendre davantage sur leur fonctionnement, leurs avantages et leurs prix.

Qu’est-ce qu’un carport solaire photovoltaïque ?  

Un abri d’auto carport  est une structure qui peut abriter votre voiture. La particularité de cet abri est  qu’il  est recouvert de panneaux photovoltaïques.  Ils génèrent de l’électricité pour recharger votre véhicule avec  de l’énergie solaire.  Si vous ,’avez pas  de voiture électrique, vous pouvez utiliser cette énergie verte pour votre besoins (électroménager, éclairage, etc.).

 

Un carport solaire peut être de n’importe quelle taille : dans une maison, il peut généralement accueillir une ou deux voitures, mais il peut aussi en accueillir plus. Le plus grand abri voiture peut mesurer jusqu’à 40 m2.

Matériaux et éléments d’un carport solaire

La structure de l’abri auto est généralement  en bois ou en aluminium. Quelques  éléments sont ajoutés à cette structure pour faire fonctionner les panneaux solaires qui la recouvrent : 

Les panneaux photovoltaïques qui sont à la base de la production d’électricité.  

Un onduleur solaire, ou micro-onduleur, convertit le courant continu généré par les panneaux en courant alternatif. Ce dernier peut être utilisé pour charger des voitures et divers appareils électroniques. Câbles de connexion reliant tous ces composants.       

Il s’agit  le plus souvent d’une borne de recharge pour véhicules électriques. Cet élément n’est pas obligatoire. 

Avantages d’un carport solaire

Protégez votre véhicule tout en produisant  de l’électricité. Si vous choisissez  d’installer un abri d’auto photovoltaïque, vous en bénéficierez beaucoup. 

Tout d’abord, il facilite  l’installation  de bornes de recharge  pour véhicules électriques. Vous  pouvez donc compléter votre énergie avec de l’énergie verte produite directement sur place. Les bénéfices sont à la fois écologiques et financiers. Même si l’installation d’une borne de recharge a un coût, celle-ci sera rapidement amortie. 

En même temps, vous pouvez abriter votre véhicule et  le protéger  des intempéries. Si vous n’avez pas la chance de posséder un garage, c’est excellente solution pour vous. 

En fin de compte, l’électricité générée par votre carport peut être utilisée pour répondre aux besoins de votre habitation, réduisant ainsi vos factures d’énergie. Vous pouvez profiter d’une électricité verte et locale sans compromettre l’apparence de votre toit. Cela peut être une option vraiment intéressante si vous ne voulez pas changer l’apparence de votre maison.

Tenez compte des impératifs d’installation d’un carport solaire

Une telle installation présente certaines obligations, dont vous devez être pleinement conscient avant de procéder. 

L’abri d’auto solaire nécessite un espace de 20 mètres carrés à 40 mètres carrés au  sol.  C’est l’espace que vous devez fournir sur votre terrain. Par conséquent, vous devrez sacrifier, par exemple, une partie de l’espace que vous avez alloué pour le jardin. 

Si vous voulez simplement produire de l’électricité verte dans votre maison, un abri d’auto peut ne pas être l’installation la plus appropriée. En effet, cela coûte plus cher qu’un panneau solaire de puissance équivalente : il faut ajouter le  coût de la structure et des bornes de recharge  éventuelles. Si vous n’avez pas spécifiquement besoin d’un abri pour votre véhicule, comparez les prix des panneaux solaires empilés. 

Faut-il un permis de construire pour installer un carport solaire ?

Pour construire un abri voiture dans votre jardin, il est préférable de vous rendre en mairie et de vérifier les documents de planification pour voir s’il y a un PLU Plan Local d’Urbanisme). C’est pourquoi il est important de suivre les recommandations spécifiques à votre ville. 
Cependant, il est impossible de généraliser car chaque ville a son propre cahier des charges. Il es donc nécessaire de se référer directement aux documents  de planification, puisqu’il s’agit  de ces derniers  qui établissent directement les règles respectives afin de maintenir l’harmonie du bâtiment. 
Les règles d’urbanisme régissent la couleur, la hauteur, la forme, la distance des quartiers et les surfaces des bâtiments. Un énoncé des travaux doit être soumis si le carport fait entre 5 et 20  mètres carrés.  En revanche, si le carport a une surface de plancher supérieure à 20 mètres carrés, un permis de construire doit être demandé.

Quelles aides financières et quel prix pour installer un carport solaire ?

Les prix qui varient selon différents critères. Comme pour les panneaux photovoltaïques, de nombreux facteurs influencent le prix d’un abri d’auto solaire. 

Le  premier d’entre eux est la puissance des modules solaires que vous avez installés et leur nombre.  Plus la puissance que vous choisissez est élevée, plus le panneau sera cher. Ceux qui offrent un très bon rendement ont également un prix élevé, mais ils peuvent générer plus  d’énergie … 

La taille de l’auvent  et le choix des matériaux affecteront également le prix. Les abris d’auto à côtés fermés nécessitent plus de ressources et  plus de  travail à installer : ils coûtent plus cher qu’un simple abris auto avec seulement un toit. Enfin, la présence ou l’absence de bornes de recharge peut modifier le prix définitif. 

Un total de 10 000 à 30 000 euros est nécessaire pour acheter et installer un  abri auto solaire . Les possibilités pour cet appareil sont très élevées : cela explique la taille de la gamme.   Il y a  de l’aide

La bonne nouvelle pour vous est qu’en investissant dans un système solaire carport, vous avez la possibilité de bénéficier d’aides gouvernementales. Vous pouvez notamment  demander  une prime  d’autoconsommation et souscrire à un achat EDF de 20 ans engagement contrat.


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Isolation des murs par l’intérieur

image isolation des murs par l'intérieur

A l’heure où la facture énergétique flambe pour tout le monde, une isolation des murs par l’intérieur peut s’avérer indispensable si votre habitation est une « passoire thermique ». Bien moins chère qu’une isolation des murs par l’extérieur, elle vous permet de réaliser jusqu’à 25% d’économies d’énergie et de réduire considérablement votre facture énergétique.

Isolation des murs l’intérieur, mode d’emploi

La technique d’isolation des murs par l’intérieur est plutôt simple. En effet, il suffit de poser des rails métalliques tous les 60 cm pour créer une armature. Une planche de bois viendra prendre sa place entre les rails puis l’isolant choisis, le tout recouvert de plaques de placoplâtre de 10 ou de 13 mm (BA10 ou BA13.

Isolation des murs par l’intérieur, avantages et inconvénients

Comme précisé plus haut, une isolation des murs par l’intérieur vous permettra d’une part de réaliser une économie jusque 25% de votre facture énergétique mais pas que.
Plus économique qu’une isolation des murs par l’extérieur puisqu’un échafaudage ne sera pas utile, elle laisse la possibilité de passer des câbles électriques et des tuyaux d’eau. Vous réaliserez également dans un second temps une économie significative sur la mise en peinture de par le gain de temps à la préparation de vos murs.
A noter que contrairement à une isolation des murs par l’extérieur, aucune démarche administrative est nécessaire.
L’inconvénient principal et majeur réside en une petite perte de surface habitable.

Isolation des murs par l’intérieur, quel isolant ?

On note 3 type d’isolant pour une isolation des murs par l’intérieur.

L’isolant en vrac ou méthode contre-cloison consiste à posé l’isolant contre le mur, la plaque de couverture servira de parement et de finition.

Le panneau isolant (ou encore rouleau) est soit collé soit fixé au mur sur l’armature de rails métalliques. Un panneau sert ensuite de finition. Un pare-vapeur est obligatoire dans le cas d’une pose d’isolant collée.

L’enduit isolant généralement sous forme de fibres d’origine végétale et d’une pâte projetées sur le mur à isoler.  Pour une épaisseur d’isolant importante un coffrage est nécessaire.

Attention, dans le cas d’un panneau isolant ou d’un isolant en vrac, il convient de tenir compte de l’affaissement de celui-ci dans le choix de l’épaisseur d’isolant posée.

Isolation des murs par l’intérieur, quel tarif ?

Comme toujours le prix d’une isolation des murs par l’intérieur dépends de l’isolant choisi, de la surface et du nombre de pièces à isoler. Plus la surface à isoler sera petite et plus le prix de revient sera élevé.
Habituellement on utilise de la laine de verre ou de la laine de roche pour leurs bonnes capacités isolantes et pour leur prix très bas de l’ordre de 5 euros du mètre carré hors pose.
Comptez de 40 à 80 euros du mètre carré pour une isolation des murs par l’intérieur finie.

Isolation des murs par l’intérieur, quelles aides de l’état ?

En fonction de votre profil et de vos revenus, vous pouvez comptez sur les aides de l’Etat suivantes :

 

  • MaPrimeRénov’
  • Le prêt à taux zéro ou Eco-PTZ
  • La TVA réduite à 5,5%
  • Les Certificats d’Economies d’Energie ou CEE
  • Les aides de l’ANAH, « Habité Mieux Agilité » qui a fusionné avec le CITE (Crédit d’Impôt pour la Transition Energétique), en fonction de votre situation géographique
Attention, pour bénéficier des aides de l’Etat, il est impératif de faire appel à un artisan ou une entreprise en règle agréé RGE.

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Continuer la lecture vers les autres articles sur les économies d’énergie.

Installer une VMC et économiser 20% sur votre facture de chauffage

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VMC pour Ventilation Mécanique Contrôlée. Il s’agit d’un système simple à mettre en oeuvre, économique et efficace pour renouveler l’air d’une habitation et en plus d’en réguler le taux d’humidité tout en réalisant des économies d’énergie significatives.

Il serait dommage alors que les logements sont de mieux en mieux isolés de s’en priver.

D’ailleurs, la législation à ce sujet a initié depuis 1955, régulièrement mise à jour, l’installation de VMC dans les logements neufs pour que la RE 2020 implique l’obligation d’installer une VMC double flux.

Quel intérêt d’installer une VMC ?

Sachez que l’air interne d’une habitation est considéré comme à 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur.
Sans VMC, vous êtes obligé d’aérer votre habitation et en particulier les pièces humides (salle de bains, wc, buanderie) afin de minimiser le développement de moisissure. En installant une VMC vous réduirez également les pollens et particules fines présentent à l’intérieur de votre logement ce que les personnes allergiques apprécieront. Enfin et ce n’est pas le moindre vous ferez automatiquement baisser votre facture énergétique de chauffage de l’ordre de 20%.

Quels sont les différents types de VMC ?

Les VMC sont aujourd’hui autant prévues pour les constructions neuves qu’en rénovation énergétique.

Il existe deux familles types de VMC, la VMC simple flux et la VMC double flux. A cela s’ajoute deux variantes comme la VMC autogérable et la VMC hydrogérable A et B.

A titre informatif, il existe d’autres types de VMC :

 

  • La VMC gaz
  • La VMC double flux thermodynamique
  • La VMR : Ventilation Mécanique Répartie
  • La VMI : Ventilation Mécanique par Insufflation
  • La VMP : Ventilation Mécanique Ponctuelle

La VMC simple flux présente plusieurs arrivées d’air dans les pièces de vie et fonctionne à l’aide d’un dispositif motorisé qui fait entrer de l’air non chauffé dans les pièces principales tout en évacuant l’air des pièces de service.

La VMC double flux présente elle une arrivée unique d’air par le toit. La VMC double flux réchauffe l’air extérieur par un échangeur thermique qui récupère la chaleur de l’habitation pour réchauffer l’air entrant.

Quelles différences entre une VMC Autogérable et une VMC Hydrogérable ?

Le débit d’air reste constant et subordonné à la pression. Il convient de le régler une fois pour toute au moment de l’installation. Une VMC Hydrogérable comme son nom l’indique aura un débit d’air variable en fonction du taux d’humidité du logement, du nombre d’occupants, du climat extérieur. Le débit d’air est donc variable. En plus, dans le cas d’une VMC Hydrogérable de type B, des capteurs d’humidité mesurent le taux d’entrée et de sortie d’air. L’économie sera supérieure.
 

Quel est le prix d’une VMC ?

A titre indicatif, le prix moyen d’une VMC est de 2 950 €, avec une fourchette comprise entre 570 € et 9000 € installation incluse. Le tarif d’une VMC simple flux varie de 500 € à 1 500 €, alors que celui d’une VMC double flux oscille entre 4 500 € et 8 500 €.
Les différences de prix sont dus aux difficultés d’installation, aux nombre de bouches, aux longueurs de gaine, au volume de l’habitation, au rendement excompté.

Quelles aides de l’état pour l’installation d’une VMC ?

  • Ma Prime Rénov’ jusqu’à 4000 €
  • La Prime Energie VMC jusqu’à 450 €
  • L’Eco Prêt à Taux Zéro
  • La TVA réduite à 10 ou même 5,5% pour une VMC double flux
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Isolation des combles, quel isolant choisir entre 9 ?

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L’isolation des combles est un important investissement pour produire plus de confort dans une maison. Pour empêcher que votre logement ne fasse face à un manque de chaleur durant l’hiver et à une canicule durant l’été, il est capital aujourd’hui d’entamer des travaux d’isolation de vos combles. Il est également envisageable d’aménager des combles après son isolation. Avec les différents types d’isolants thermiques des combles disponibles sur le marché, vous avez du mal à opter pour le bon isolant. 

Quel isolant choisir pour isoler ses combles ? Quel est le prix isolation des combles ? Nous faisons ici le point pour vous.

 

Les isolants minéraux

En matière de matériaux d’isolation, les isolants minéraux font partie des plus adoptés. Ils sont durables et très efficaces.

La laine de verre

Facile à installer, d’un bon rapport entre prix et qualité, ignifugée et incombustible, la laine de verre offre plus d’avantages. En dépend de la technique de pose, elle coûte entre 3 et 17 euros par m2, et peut se présenter sous plusieurs formes : en panneaux, en rouleaux flexibles, ou encore en flocons pour une isolation soufflée. Selon son épaisseur, la laine de verre peut produire entre 0,032 à 0,046 W/m. K, et l’épaisseur à appliquer doit être incluse entre 21 et 24,5 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W.

La laine de roche

Sur le marché, vous apercevrez des isolants à base de laine de roche sous différents aspects : en flocons, en rouleaux ou encore en plaques souples. Facile à mettre en place, ce type d’isolant est adapté à n’importe quel aménagement de combles. Sa conductivité calorifique est comprise entre 0,033 et 0,045 W/m. K. Si vous optez pour ce type d’isolant, vous devrez alors prévoir entre 5 et 25 euros par m2, en fonction de son mode de commercialisation. Pour obtenir un R compris entre 6 et 7 m² L/W, l’épaisseur à appliquer doit être incluse entre 21 et 24,5 cm.

Les isolants végétaux

Les isolants végétaux sont des issues écologiques pour une finalité d’isolation de vos combles.

La laine de chanvre

Vous apercevrez sur le marché des isolants à base de laine de chanvre sous l’aspect de plaques ou en vrac. Elle a l’avantage d’être inaltérable, antibactérienne ou encore fongicide. Elle résiste aux différentes attaques d’insectes et de rongeurs et est entièrement recyclable. Elle dispose d’une conductivité calorifique comprise entre 0,040 et 0,046 W/m. K, en fonction de sa disposition mais aussi d’une grande longévité. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 24 et 28 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. Pour s’en procurer, il faudra verser entre 15 et 20 euros par m2.

La laine de lin

Qu’il s’agisse de combles aménagés ou perdus, la laine de lin s’adapte à toutes les situations. Sur le marché, vous découvrirez de la laine de lin en vrac, sous l’apparence de rouleaux, de plaques ou encore de feutres. À la fois hygrorégulateur, isolant sonore et thermique, la laine de lin dispose d’une conductivité calorifique comprise entre 0,037 et 0,040 W par m. K. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 20 et 30 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. C’est une matière durable et très résistante puisqu’elle résiste très bien aux attaques d’insectes et de rongeurs, aux incendies ou encore aux putréfactions. Son coût varie entre 15 et 20 euros le m2.

Le liège

Provenant du chêne-liège, cette matière dispose d’une excellente conductivité thermique puisque le liège génère entre 0,032 et 0,045 W par m. K. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 24 et 28 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. Le liège est un matériau durable et très résistant, notamment à l’eau, aux insectes, aux rongeurs, et aussi au feu, le liège peut se présenter sous forme de granulés ou de plaques rigides. Le prix du liège reste néanmoins onéreux et varie entre 50 et 60 euros par m2 en fonction de sa provenance.

La laine de bois

Disponible sous l’apparence de plaques, la laine de bois dispose d’une excellente prouesse calorifique, car elle est capable d’emmagasiner la chaleur durant près de 13 heures, et sa conductivité calorifique est saisie entre 0,037 et 0,049 W par m. K. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 20 et 30 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. La laine de bois vous offre l’occasion d’améliorer le confort calorifique durant les périodes hivernales et estivales. Si vous choisissez ce type d’isolant, envisagez entre 15 et 25 euros pour le m2.

 

Les laines animales

Identiques aux isolants végétaux, les laines de provenance animales sont aussi une solution d’isolation des combles et économies.

La laine de mouton

Généralement adopté dans les travaux d’isolation de combles perdus, la laine de mouton peut être achetée sous l’aspect de rouleaux ou de plaques, et peut être pur ou associé à des films synthétiques. Récupérable, réutilisable et biodégradable, la laine de mouton se trouve être une matière respectueuse de l’écologie et de l’environnement. Elle résiste aussi bien aux attaques de rongeurs et d’insectes qu’aux incendies. Sa conductivité calorifique est comprise entre 0,035 et 0,042 W/m. K, et son prix varient entre 15 et 25 euros par m2. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 20 et 30 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W.

 

Les isolants synthétiques

D’origine pétrochimique, les isolants synthétiques se trouvent être une solution très économique pour les travaux d’isolation de vos combles.

Le polystyrène expansé ou PSE

Provenant du pétrole pur, le PSE est fait majoritairement de billes unies par pression. Son principal avantage est qu’il est entièrement plurivalent. Sa conductivité calorifique est saisie entre 0,030 et 0,038 W par m. K. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 22 et 24 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. Contrairement aux autres isolants, le PSE est inflammable et très délicat aux attaques d’insectes et de rongeurs. Sur le marché, vous apercevrez du PSE sous l’apparence de panneaux à un tarif compris entre 10 et 15 euros par m2.

Le polyuréthane

En plaques ou en mousse, vous découvrirez plusieurs formes de polyuréthane sur le marché. Avec une conductivité thermique de 0,022 à 0,030 W par m. K, ce type de matériaux se trouve être idéal pour l’isolation de combles. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 15 et 17,5 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. Résistant aux tassements, facile à poser, durable, le polyuréthane dispose de nombreux avantages pour votre isolation de combles. Cependant, il est délicat au feu. Pour l’acheter, il vous faudra dépenser entre 20 et 60 euros par m2.

 

Les isolants minces pour les combles à rampants

Les isolants minces sont composés de feutre ou mousse, de ouate enveloppée entre deux feuilles d’aluminium. Les isolants minces sont habituellement employés pour isoler les rampants des combles aménagés ou à aménager. S’il connaît une grande réussite, il nécessite de l’associer à une autre matière pour être plus performant.

 

Isolant recyclé

Respectueux de l’environnement, réutilisable et bien d’autres encore, l’isolant recyclé fait partie des matières isolantes écologiques.

La ouate cellulose

Cet isolant est conçu par recyclage des vieux journaux. Exclusivement dédiée aux combles perdus, la ouate de cellulose se présente sous forme de flocons ou en vrac. D’une grande capacité de déphasage thermique, un excellent rapport entre prix et qualité, une grande résistance aux attaques d’insectes et de rongeurs, aux incendies et aux putréfactions, la ouate de cellulose dispose de tous les atouts pour une isolation efficace de vos combles. L’épaisseur à appliquer doit être comprise entre 24 et 28 cm afin d’avoir un R compris entre 6 et 7 m² L/W. La durée de vie de la ouate de cellulose est de 30 ans. Ce matériau doit être posé de manière soufflée.

Qu’est-ce que le coefficient de déphasage thermique ?

Le coefficient de déphasage thermique appelé « R » est le temps nécessaire pour la chaleur à traverser l’isolant autrement dit la capacité d’un matériau isolant à retenir les calories. Bien évidemment, plus le coefficient de déphasage thermique est élevé est meilleure sera votre isolation.

Les avantages d’une isolation de combles soufflée

Lorsqu’une isolation de combles est posée en plaque, les plaques sont obligatoirement posées entre les chevrons de votre charpente et ne les recouvrent pas. Par ailleurs, les angles, les recoins ne sont pas isolés ce qui procurera des ponts thermiques et  donc une isolation nettement moins efficace.

A l’inverse, une isolation de combles soufflée ou encore propulsée va venir loger dans les moindres recoins et par-dessus les chevrons le matériaux isolant d’où aucun pont thermique et un résultat considérablement optimisé.

Quelle durée pour isoler des combles

Quelle que soit l’option retenue, en plaques posées ou en vrac soufflée, comptez habituellement une journée de travaille à deux techniciens pour une centaine de mètres carrés.

 

Les soutiens financiers de l’Etat pour des travaux d’isolation de combles

Les divers travaux d’isolation de combles savent être financés partiellement par des soutiens du gouvernement. Ces aides financières vous permettent de réduire considérablement votre facture de rénovation énergétique. Ces aides peuvent se montrer sous différents aspects : la subvention à taux zéro pour les nouvelles maisons, l’écocontribution à taux zéro pour les maisons anciennes, la contribution d’impôts de transition écologique (Ex CIDD) et les appuis de l’Anah, qui vous permettent de faire une isolation des combles économies qui peuvent aller jusqu’à 30 % du tarif des travaux, installation et équipement. Cependant, pour bénéficier des appuis de l’État, il nécessite que les travaux soient réalisés par un professionnel proposé par un Courtier en travaux comme Chantiers travaux.

Attention ! Pour pouvoir profiter des aides, le coefficient de résistance thermique R nécessite d’être au-dessus ou égal à 6 m² L-W pour les combles aménageables et plus de 7 m² L/W pour les combles perdus. Et cela, peu importe le type d’isolant à condition que ces coefficients soient confirmés.

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Économies d’énergie, poêle à bois ou à granulés

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Écologiques et performants, les poêles à bois et à granulés sont des équipements de chauffage au bois très efficaces. Toutefois, les coûts de ces matériels peuvent décourager certains ménages. Pour favoriser leur acquisition, l’État a mis en place diverses aides financières.

Les avantages et les inconvénients des poêles à bois et à granulés

Avant de choisir entre les poêles à bois ou le poêle à granulés, il faut en connaître les avantages et les limites qu’ils présentent.

Tout comme le prix de son combustible, le poêle à bois ou en bûches est moins onéreux à l’achat. En revanche, les bûches sont plus difficiles à conserver, contrairement aux granulés qui sont stockés dans des sacs. Semblable à une cheminée, l’alimentation du poêle en bûches s’effectue manuellement.

Grâce à un réservoir, le poêle à granulés ou à pellets dispose d’un système d’alimentation en consommable automatique. Simples à utiliser, les poêles à pellets sont programmables. Pour fonctionner, ces appareils doivent être branchés sur secteur. Les granulés sont faciles à stocker et peuvent être emballés dans des sacs, car ils ne sont pas salissants.

Côté rendement, le poêle à granulés dégage une plus forte chaleur grâce à leur taux d’humidité faible. Accompagné de différentes technologies, le poêle à granulés assure des économies d’énergie importantes tout en chauffant une surface importante.

Que ce soit des bûches ou des pellets, le bois reste moins cher que les autres combustibles (pétrole, gaz, fioul, etc.).

Les tarifs estimatifs en vigueur concernant les poêles à bois et à granulés

Le tarif d’un poêle à bois dépend du type de matériel choisi, sa puissance et le combustible utilisé. Suivant ces éléments, le prix d’un poêle à bois est compris entre 500 euros et 10 000 euros. En revanche, le prix d’un poêle à granulés varie de 3 000 euros jusqu’à 15 000 euros.

Les aides de l’État pour les poêles à bois et à granulés

Nombreuses aides financières sont disponibles pour s’équiper d’un poêle à bois et à granulés. Pour y accéder, l’achat et la pose du matériel doivent se faire par un professionnel certifié. Pour ce faire, il est possible de faire appel à l’entreprise Chantiers Travaux. Il s’agit d’un réseau national de courtiers en travaux spécialisé en bâtiment.

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Proportionnelle aux revenus, cette aide est réservée aux propriétaires d’une habitation de plus de 15 ans. Peu importe le modèle de poêle à bois ou de poêle à granulés, la subvention demeure identique.

Les certificats d’économies d’énergie ou CEE

Pour valoriser l’achat de son poêle à bois ou à granulés, il est possible de solliciter l’accompagnement aides de l’état. Il s’agit des CEE qui sont fournis par un organisme obligé par l’État (fournisseur d’énergie, magasin de bricolage, etc.).

Les autres aides financières pour les poêles à bois et à granulés

Pour inciter les ménages dans la rénovation énergétique, l’État propose des dispositifs favorisant l’investissement d’un poêle à bois et à granulés. Dans ce cadre, il existe deux systèmes.

  • La TVA à 5,5 % : sans aucune démarche à réaliser, la réduction s’applique directement sur le devis.
  • L’éco-prêt à taux zéro : prêt sans intérêt, cet accompagnement aides de l’état permet de financier des travaux de rénovation énergétique.
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